guerir le cancer

Gérardmer le 26 juillet 2019

Bon Jour chers AMIS,

Cette petite lettre, il faut que je vous en fasse part aujourd'hui
pour vous relater une petite aventure ( encore une ! ) qui m'est arrivée le 25 juillet.

Depuis le 16 février 2015, je prends tous les soirs ma chimio orale pour soigner mes métastases au foie (trop nombreuses et importantes pour être opérables).
Initialement ce fut du SUTENT 50mg devenu inefficace vers 05/2019, actuellement du CABOMETYX...
qui sont tous les deux des « tueurs de cellules à développement rapide ... »
sans trop de distinction entre les cellules malades du cancer et les muqueuses buccales, intestinales etc. . .
C'est une pratique qui va contre mes convictions profondes.
En effet, comme je l'ai écrit dans mon journal intime:

" les cellules malades en question sont mes enfants, c'est moi qui les ai créées, et je les aime encore plus, et m'applique à les guérir."
" C'est en effet parce qu’elles sont mal formées et malades qu'elles ne peuvent pas fournir le travail nécessaire à l'endroit où elles se trouvent,
faisant par maladresse, plus de mal que de bien.
La meilleure solution serait de les guérir, de réparer leur ADN défectueux.
Là ce sont les grands moyens; mais comment faire ? "

Quand le 20 octobre 2016 mon ami Gérard, qui nous a quittés depuis le 24 mai 2012 à la suite d'un cancer du côlon,
m'a demandé: Bruno, guéris mon cancer !
j'en fus abasourdi …
Après réflexion, je lui ai recommandé le jour d'après d'aimer ses cellules cancéreuses, ce qui semble lui avoir réussi,
et il me l'a fait sentir au cours des rendez-vous suivants.
Il faut dire qu'il est présent tous les soirs avec moi à 22 heures,
pour absorber ensemble la chimio orale (ainsi que Camille, Oma, Mamie Yvonne et Jean).
Un soir, deux trois jours plus tard ,
Gérard m'a fait comprendre, et ses paroles résonnaient doucement dans ma tête:
" Tes cellules cancéreuses sont désolées et te demandent pardon pour le mal qu'elles t'on fait ! "
J'ai compris ce soir là, que mes chères cellules malades avaient indéniablement au minimum une conscience collective.

Le jeudi 25 juillet 2019 à 22h00
lors de mon rendez-vous avec mes 5 amis du monde invisible, pour la prise du CABOMETYX,
j'ai parlé à nos cellules à tous, celles de notre corps physique et spirituel :

« Nous prenons ce médicament pour que nos cellules malades jeunes et fortes guérissent vite !
Et que cette pilule aide nos chères cellules trop malades et trop vieilles à trouver le courage de partir,
elles qui, par peur, désobéissent à l'ordre d'apoptose que leur envoient le cerveau ainsi que les cellules saines, leurs voisines.
Je vous aime bien, mais à présent il faut partir.
Pour ne pas contaminer le corps entier qui doit rester sain,
et digne de la perfection de son Créateur. » …